Bonjour !
Les jeunes filles tout comme les femmes subissent plusieurs formes de violences dans les différents milieux de la société. C’est le cas d’une jeune fille répondant au nom de Bilongo Irène.
Cette dernière a quitté le village pour Pointe-Noire afin d’aider sa tante maternelle qui vient d’accoucher par césarienne aux travaux ménagers .Sachant que celle –ci n’a pas de niveau sa tante l’inscrit au cours du soir pour qu’elle sache au moins lire et écrire son nom et tout ce qui est élémentaire afin d’apprendre un métier.
Malgré tous les efforts fournis par sa tante en l’inscrivant au cours pendant deux années consécutives(elle abandonne toujours au premier trimestre)en vain ,Irène choisit de resté à la maison.
Deux ans après, sa tante accouche de nouveau par césarienne et cette fois -ci elle reste plus de jour à l’hôpital. Pendant cette période Irène est battue par Luc le mari de sa tutrice qui l’a harcèle sexuellement , elle avait le visage couvert de cicatrices des ongles , des yeux rouges …mais en rendant visite à sa tante elle ne disait rien.
Quelque temps plus tard , elle décide de repartir au village, ce qui fut fait. Actuellement , Irène vit dans un village très reculé de la commune de Mouyondzi dans le département de la Bouenza. .Mariée ,elle n’a pas d’enfants car elle éprouve des difficultés de conception .En gros elle n’est pas heureuse.
Dans tout ceci la leçon a tirée est que les femmes et les jeunes filles doivent dénoncer toutes formes de violences dont elles sont sujettes afin d’éradiquer tant soit peu cette barbaries. Si et seulement si Irène a dénoncé le harcèlement dont elle était victime de la son tuteur ,elle devait faire un plaidoyer contre lui et aujourd’hui elle ne devait pas croupir dans cette zone rurale.
Retenons que le silence n’est pas une arme pour lutter contre les violences faites à l’égard de la femme et de la jeune fille.
Manhore De Bessi
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lundi 7 décembre 2009
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