mardi 19 juillet 2011

Après la joie vient le malheur

Cédric divorce avec sa femme Irène après qu'elle ait pris part au retrait de deuil d'une collègue de service,le 10 juillet 2011.
Le couple travaillant dans une station de radio et de télévision avait des collègues communs.Voici qu'un jour l'une des collègues qui retirait son deuil porté en mémoire de sa mère invite tous les amis du service.Comme d'habitude,Cédric qui prend rarement part aux manifestations liées à l'entreprise a décliné l'offre.Etant donné que la personne qui se dédeuillait était du même service que Irène,celle-ci bondit sur l'occasion surtout que :"cela fait longtemps que j'ai fait une sortie" avait-elle murmuré à sa nièce qui vivait avec eux.
A la fin de la fête autour de 19hoo,un groupe d'amis dont huit femmes et un homme décide de se rendre en boite.Et Irène se joint à eux,ces journalistes qui connaissaient déjà le comportement de Cédric puisque travaillant dans la même maison repousse Irène .Mais cette dernière les rassure d'appeler son mari et que tout irait bien.
Arrivée à l'entrée de la boite,Irène téléphone son coeur pour lui dire je cite :"la fête vient de prendre fin au lieu indiqué,maintenant nous allons continuer en boite".Et voilà comment le mari s'écrie de l'autre coté du téléphone:"tu es folles,arrête moi tes conneries,je veux te voir ici tout de suite,de toutes façons tu as le choix à faire,ou c'est la boite ou c'est le mariage.si tu t'entêtes de rester là-bas,tu viendras prendre seulement tes bagages.Irène rétorqua:"pourquoi tu te comportes ainsi?je ne peux pas me distraire avec les collègues?En 365 jours je sors un jour seulement et 364 jours je suis restée à la maison ce n'est pas à féliciter?
Irène décidé à s'égailler prend la résolution de rester,pendant ce temps le seul homme qui les accompagnait a tenté de ramener Cédric à la raison en vain.Après 2heures de distraction(de 20h à 22h),le groupe quitte la boite pour rentrer chacun chez lui.Irène la peur au ventre arrive chez elle et trouve son mari assis à la véranda entrain de l'attendre et dès qu'il l'a vu:"où sont les amis qui t'ont accompagné?"Irène pourquoi devraient t-ils m'accompagner qu'est ce que j'ai fait d'alarmant ,j'étais avec les amis du service tu le sais et certaines d'entre elles sont aussi mariées, m'as-tu déjà emmené en boite depuis que nous sommes mariés?Après plusieurs échanges de paroles,le mari dit de toutes façons ma position reste inchangée, comme tu m'as nargué tu fous le con chez tes parents,libère ma maison.a ces mots,la femme a ramassé tout ce qui l'appartenait et rejoignit ses parents .
Voilà,c'est vrai que notre culture et surtout la bible recommande à la femme d'être soumise,mais nous n'allons pas tout le temps repartir dans la coutume ou la bible si nous voulons briser les barrières des violences.Déjà lorsque Irène prend le soins d'appeler son mari pour lui dire que "nous continuons en boite" n'est ce pas une marque de considération et surtout de soumission envers ce dernier? elle pouvait ou ne pas appeler l'essentiel pour elle c'est de se récréer et à la fin:"advienne que pourra".
Il faut donc bannir certaines coutumes qui font un blocus pour que les femmes mènent à bien leurs lutte contre les violences dont elles sont sujettes.Dénoncer toutes formes de violences dans les associations et ONG pour trouver les voies et moyens de les éliminer
n'oublions pas que plus que nous sommes dans le mutisme plus que les hommes continuerons à marcher sur nous et considérer toujours la femme comme la 7ème bête après le crapaud......

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